entete

Rencontre : Salon du livre juridique

Le 8ème Salon du livre juridique aura lieu le samedi 8 octobre 2016, au Conseil constitutionnel, de 10h à 10h.

Il est co-organisé par le Club des juristes et le Conseil constitutionnel.

En plus d’y acquérir de nombreux ouvrages juridiques, vous pourrez y rencontrer leurs auteurs.

À 11h30 aura lieu la remise des Prix du livre juridique 2016, par Laurent Fabius, Président du Conseil constitutionnel.

À 14h30 se déroulera une présentation du Conseil constitutionnel.

À 14h30 et 17h seront tirés au sort des « packs-livres juridiques étudiants ».

C’est au 2, rue de Montpensier – 75001 Paris. Si vous avez loupé les journées du patrimoine, c’est l’occasion de visiter le Conseil constitutionnel !

Colloque : Refaire la démocratie

Un colloque est organisé à l’Hôtel de Lassay, les 6 et 7 octobre 2016.

Il porte sur le rapport du groupe de travail sur l’avenir des institutions, Refaire la démocratie.

Placé sous le haut-patronage de M. Claude Bartolone, Président de l’Assemblée nationale, il est organisé en partenariat avec Sciences Po (CEVIPOF et GEVIPAR), France Inter, Libération, LCP-AN et la revue Histoire.

Personnalités politiques et universitaires aborderont les thèmes du Parlement du non-cumul, de la participation citoyenne et référendum, de la proportionnelle, du septennat.

Ils répondront également aux questions suivantes :
  • Le modèle représentatif français est-il en crise ?
  • Les représentants ont-ils changé ?
  • La représentation suppose-t-elle encore l’élection ?
  • Quelle place pour la représentation à l’ère numérique ?
Le moment fort de ce colloque sera la clôture de la première journée, avec une intervention du Président de la République, le 6 octobre, à 18h.
Consulter le programme.

Colloque : La souveraineté numérique. Le concept, les enjeux

Un colloque est organisé à l’Université de Nice – Sophia-Antipolis le 7 octobre 2016.

Il est organisé par le Centre d’Études et de Recherches en Droit Administratif, Constitutionnel, Financier et Fiscal (CERDACFF), en partenariat avec l’Equipe de Recherche de Droit Public (ERDP) de l’Université de Lille et le soutien de l’Association française de Droit constitutionnel.

La Révolution numérique a bouleversé les conditions dans lesquelles l’Etat exerce ses prérogatives régaliennes sur son territoire, garantit les droits et libertés protégés par sa Constitution, défend la sécurité des citoyens et favorise le développement économique. Elle bouscule aussi les modalités selon lesquelles le peuple, par l’intermédiaire du pouvoir politique qu’il désigne, par le moyen des lois qui sont élaborées en son nom, entend conserver la maîtrise de son destin.

Alors que le concept classique de la souveraineté des États et des peuples se trouve ainsi mis à l’épreuve, certains Etats revendiquent une « souveraineté numérique » présentée comme nécessaire à la défense de leurs intérêts fondamentaux. Ces préoccupations s’accentuent du fait de la prise de conscience récente des failles du système de gouvernance des espaces numériques, de la recrudescence des menaces sur la sécurité, de la montée en puissance de multinationales qui s’imposent sans partage sur le terrain de la nouvelle économie. Mais la souveraineté numérique, dans ses dimensions européennes et internationales, reçoit bien d’autres acceptions et soulève des enjeux divers, pour les Etats, les citoyens, les acteurs économiques, les utilisateurs.

Le présent colloque vise à interroger ce concept naissant, sans parti-pris ni a priori, afin de contribuer à en dessiner les contours, à en identifier les fondements, à en comprendre les enjeux et, le cas échéant, à en reconnaître les limites.

Il s’inscrit dans le cadre de la thématique générale de recherche pour 2016 de l’AFDC intitulée « Le droit constitutionnel à l’épreuve du numérique », et associe universitaires et spécialistes des questions numériques.

Voir le programme.

François Hollande, la stratégie gagnante de la primaire

Si François Hollande décidait de se présenter à l’élection présidentielle, il aurait trois raisons de ne pas se soumettre à la primaire socialiste. C’est pourtant indispensable car il a autant de raisons stratégiques de s’y confronter.

Juridiquement, politiquement et pratiquement, un Président de la République sortant ne saurait se soumettre à des primaires.

Juridiquement, les primaires ont déjà eu lieu : la majorité actuelle a choisi son candidat en 2011 et le peuple a choisi son Président en 2012. Investi, il se plaçait de facto à la tête du Parti socialiste et des partis qui ont participé aux primaires citoyennes. Élu, il s’est élevé au-dessus de la mêlée politique, en demeurant soutenu par cette majorité, qui l’a fait candidat, puis Président.
S’abonner à la lettre d’information
logo blanc